La Tunisie se retrouve face à un défi crucial de sécurisation de ses sites web officiels pour protéger ses données sensibles dans un paysage cybernétique mondial en constante évolution. Une insécurité qui est liée à l'absence du protocole HTTPS sur de nombreux sites gouvernementaux, selon Kaspersky et les médias locaux du pays. Ce qui laisse la porte ouverte aux hackers, aux cyber-espions et aux agents de renseignements.